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La submorphémie lexicale

Submorphémie lexicale

 

 

 

 

LA SUBMORPHEMIE LEXICALE 

 

 

     Sur ce site, dédié au signe linguistique, le docteur Christian Dufour révèle le résultat de ses recherches depuis 1994, qui met en évidence la motivation des mots.  

 

   C'est une recherche passionante sur l'existence de séquences sonores et/ou littérales, nommées  submorphèmes (donc plus petites que le morphème) en linguistique, qui est née  de  l'écoute des plaintes de ses patients (275000 consultations pendant 39 ans). 

 

       Après une étude souvent exhaustive des mots du lexique français, il est parvenu à isoler environ 120 unités submorphémiques qu'il nomme "codons linguistiques inconscients", qui évoquent tous, sans exception, chacun deux notions invariantes différentes, parfois opposées (énantiosèmes), tel le codon ou submorphéme "bl" qui code soit pour l'éblouissement, soit pour l'aveuglement, quelle que soit sa position dans les mots.

 

Il emploie le terme de codons par analogie avec ceux de la génétique qui permettent la synthèse des protéines grâce aux codons des ARN messagers et de transfert. En linguistique pour lui les submorphémes qu'il la isolés servent à la formation des mots, à leur synthèse ou plus pécisément et corectement  pour le langage à leur genèse.  

 

L'ARN messager (ARNm) porte la séquence informative, succession des codons spécifiant chaque acide aminé de la protéine , l' ARN de transfert (ARNt) est capable d'établir la correspondance entre un codon et un acide aminé précis.

 

L'ARN messager de la genèse des mots n'est donc pas biblique (!) mais est un submorphème qui établit la correspondance entre une caractéristique du référent et un fragment  spécifique du mimophone qui lui est attaché naturellement :

 

par exemple la perception du schème de ligne brisée, de casse ou de risque de casse (fragilité) de l'objet référent cristal à l'imitation par la voix humaine du bruit produit lors de cette casse (brisure) : crac dont est extrait la séquence submorphémique <cr>, un autre ARN messager se chargera du submorphéme <al> correspondant à la dureté, un autre se charge de <it> et un dernier de <is>

 

Le signifiant final le mot est formé par un ARN de transfert qui assembe les codons des ARN messagers de la fin au début des mots selon le concept du référent, son signifié. Le signifié est comparable à la séquence d'ADN chargé de former l'ensemble de la chaîne sonore du mot qui désignera le référent.

 

La synthèse ou genèse du mot se réalise grâce à l'action des ARNm, puis des ARNt  qui, sélectionnés par le signifié, associent les codons permettant de symboliser le référent par ses caractéristiques les plus sailantes:

 

Ainsi le cristal est un objet dur <al>, dont un mouvement <it> peut transmettre <is> la casse <cr>. Cette conception inconsciente fait écho au dicton : "Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse"

 

La genèse du mot se réalise en sens inverse de sa future lecture   : <al> <it> <is><cr>  qui, inversé donne :  <cr> <it> <is><al>. Se produit une fusion des codons <it> et <is>selon une loi d'économie phonétique locutoire pour former <ist) comme si <i> était factorisé. Au total, on onbtient bien <cr> <ist> <al>  : cristal.

 

Le mot sert à désigner le référent par ses caractéristiqes ou propriés remarquables et aussi à prévenir des risques encourus en présence du référent  car le langage est né pour adresser des signaux d'alerte ou d'alarme au groupe social (tribu). Même un mouvement vibratoire permet de briser un verre en cristal tout comme sa chute sur un sol dur.

 

 

EN COURS d'ELABORATION 

 

 Les codons submorphémiques s'associent de la fin du mot à son initiale avec des codons au sens général d'abord et  spécifiques ensuite expliquant le choix privilégié de l'apocope qui supprime la fin des mots (prof pour professeur, ciné pour cinématographe, etc).

 

Ces codons ou submorphèmes sont donc toujours des idéophones dont certains appartiennent aux onomatopées mimétiques. Derrièle le mimophone se cache l'idéophone  : crac imite le bruit d'un objet cassant qui se brise et comporte le submorphéme cr qui renvoie à la notion de casse ou de potentialité de casse. (fragilité).  La cruche est l'objet symbolique de cette notion de casse potentielle ou fragilité. Le mot cruche selon la langue de l'inconscient se transcrit  : ch(e -  uc - cr :  soit mouvement dangereux ch produit uc la casse cr : "tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se casse".

 

La duplicité sémantique  des codons s'explique par le fait qu'un mimophone mime par définition un bruit qui  provient d'une source sonore qui est perçue par la vue d'abord (s'il fait jour) pemettant de relier le concept aperçu au bruit ; c'est le cas pour cr de crac et pour cl de clac par exemple : vision d'un objet qui ferme telle une porte et le bruit de claquement que cette fermeure engendre à la fin du mouvemenyt perçu.

 

Ces 120 submorphémes ou codons isolés sont tous formés soit par la uite voyelle-consonne qui appartient aux syllabes fermées, soit aux groupes biconsonantiques avec l et r, tels bl, cl, fl, gl, pl, tl  et br, cr, dr, fr, gr, pr, tr, vr).  Les submophèmes formés de la suite C-V (Consonne Voyelle)  sont des codons non sens.

 

 

 

EN COURS d'ECRITURE 

 

 

 

 

 

En fonction des schèmes évoqués car par exemple cr est associé à la figure d'une ligne brisée (créneau, cran, crète...), od à une forme ondulatoire,br à une ligne brisée, fr à une vague, or à une limite. Il nomme  ce type de codons fréquents des schmèmes (environ 90). Le code de la langue française est donc basé essentiellement sur la géométrie.

Il définiit d'autres catégories : émotème sliés à l'émotion (une douaine), esthesièmes liés à d'autres canaux snsoriels (al de dureté), élèmes liés aux éléments (eau, air, tere , feu..) et sèmes primtifs tel um (transformation subtile et volatile dui se répand (fume, parfulm, rumeur, tumeur).

Comme les mots ne sont pas tous constitué d'un nombre paire de lettres il reste isolés entre eux dou au extrélités du mot des letres (consonne à l'initale, voyelle en finale, deuxiéme consonne des doublets (tt, ss)  pour qu la comparaison  avec le corpus des mots qui les contiennent lui a permis de découvrir quelles posèdent tous un triple sens possible et même un 4ème qu'il qualifie de sacré pour les majuscules, des lettres capitales.  qui ui prmettent d'établir un alphabet sacré du Z au A. 

 

 

Date de dernière mise à jour : 18/11/2025

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