La nature motivée des mots

La fin de l'arbitraire des mots

 QU'EST-CE QU'UN MOT ?

 

 

    Après une trentaine d'années de recherches médicales et linguistiques sur le sujet passionnant 

de la nature et de l'origine des mots, il est désormais possible de formuler une nouvelle théorie,

totalement opposée à la théorie officielle saussurienne encore enseignée dans nos Facultés de

 

Lettres et de Linguistique, qui affirme l'arbitraire des mots.

 

   Une nouvelle définition des mots doit être proposée:

 

Les mots sont des rébus phonémiques et surtout littéraux, chargés de désigner symboliquement 

 

 

les référents par une ou deux de leurs caractéristiques remarquables. Ils ont été construits dans le

sens inverse de la lecture, c'est-à-dire de la fin du mot à son début par une suite de codons

linguistiques, formés d'un ou deux phonèmes ou lettres, selon un code précis essentiellement

géométrique et accessoirement  émotif.

 

 

Le mot n'est pas un signe duel arbitraire signifié/signifiant. Le mot est incarné. Les aires du

 

 

langage  sont en relation :

 

1. avec le cortex sensoriel surtout visuel et auditif qui représente la surface corticale la plus

 

étendue  du cerveau (aires sensorielles primaires et associatives). Le code inconscient du langage

 

 

est d'essence géométrique (statique et dynamique). 

 

2. Avec le système limbique ou cerveau affectif et mnésique 

 

3. Avec les centres de commande de la motricité et la sensibilité des organes phonatoires 

 

 

      La formation des résaux neuronaux des aires du langage n'est pas née de novo par quelque

 

 

intervention divine ou quelque délire saussurien. Ces centres du langage se sont progressivement

 

 

élaborés à partir d'un langage gestuel primitif et de proto-onomatopées, un langage fondé sur la

 

géométrie dans l'espace et sur des briques onomatopéiques.

 

 

La nouvelle étymologie doit étudier la recherche de l'évolution dans le temps (diachronique) de ces

 

 

briques onomatoéiques

 

 

                                          Un seul exemple 

 

 

Référent : un objet qui de brise avec un bruit berçu et immité par la voix humaine : crac ! 

 

Cette brève onomatopée comporte deux briques permettant la formation des mots:

 

 

1. La première est <ac>  que l'on retrouve dans clac ou flic flac. L'examen de l'ensembe des lexies

 

françaises qui comportent cette brique permet d'en déduire qu'elle évoque deux notions

 

dynamiques : action et transfert.

 

Sa transmission actuelle lors de l'acquistion du langage de l'enfant en français se réalise

 

dès le plus jeune âge par un mot enfantin bien connu "caca'", une origine qui doit amener l'Homme

 

à plus d'humilité sur sa langue! Ce codon <ac> existe en latin (actus actum)et dans de nombreuses

 

langues européennes : act en anglais et roumain, Akt en allemand, tchèque, albanais,

 

luxembourgeois, acte en espagnol.....  

 

2) la seconde est <cr> qui évoque la brisure du référent et la ligne géométrique brisée (cf la page

 

sur la naissance du signe).  Le référent qui en est le meilleur symbole est la cruche (qui tant va-t-à

 

l'eau, qu'à la fin elle se casse). La lecture complète du signifiant cruche se réalise ainsi :

 

<ch(e)><uc><cr>, soit mouvement dangereux produit la casse. 

 

 

Comme le codon <ac> renvoie à deux sens le codon <cr> évoque un second sens qui  ne concerne

 

plus les objets mais les êtres vivants : c'est la mort (crever, sépulcre, crypte, nécropole, croix,

 

chrysantème, crime, massacre, sacrifice, eau croupie, crépuscule...).  Pour en savoir plus il faut lire

 

la page intitulé la naissance du signe.

 

 

en cours de correction  

 

 

 

 

 

 

 

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Date de dernière mise à jour : 29/07/2025

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